Angil et sa belle bande s’offrent une seconde chance à l’Avant-Scène

Après une tonitruante ouverture de saison avec Big'N au Mondo Bizarro, l'association Kfuel opère un acrobatique salto musical. Après une soirée noise millésimée, ils enchaîneront ainsi avec une très belle soirée pop, vendredi 6 septembre, au bar-resto l'Avant-Scène. Après leur rendez-vous manqué de décembre dernier, nous sommes ravis d'y retrouver les stéphanois d'Angil & The Hidden Tracks, accompagnés de la délicate et soul : Dotsy Dot.

BD en août : été sensible

Nous avons eu le temps de lire sur ce mois d’août et nous vous en faisons profiter. Après les noirceurs de notre sélection de juillet, voici quatre ouvrages délicats, lumineux et sensibles, histoire d'aborder plus sereinement cette rentrée tendue.

Rentrée Kfuel : Big’agaiN

L'association rennaise Kfuel conviait tous les amateurs de musiques indociles en général et de noise furibarde en particulier, mardi 27 août au Mondo Bizarro, pour une explosive première soirée de la saison. Belle réussite pour ce tour de chauffe, puisqu'un public conséquent a pu savourer avec délectation l'ahurissante distribution de mornifles soniques des toujours aussi fringuants américains de Big'N.

Beware : the Big Bad Noise is Back

L'association Kfuel est peut être un peu en avance sur la rentrée, mais au moins elle nous gâte. Mardi 27 août, au Mondo Bizarro, ce sera le retour inespéré des fabuleux Big'N. Groupe emblématique de la scène noise du Chicago des 90's, ces furieux nous avaient prouvé, lors d'un mémorable concert en 2011, que reformation ne rime pas toujours avec consternation. Avec les excellents rennais de Minia Zavout en première partie, cela donne une soirée totalement immanquable pour les amateurs de rock teigneux et abrasif.

Bilan 2013 : la Route du Rock dans la peau

Les organisateurs du festival nous conviaient samedi soir pour une conférence bilan de cette édition. On y a causé chiffres d'entrée et nouveautés pratiques bien sur, mais aussi subtilités et difficultés de l'art de la programmation... et consommation moyenne de bière par jour et par festivalier.

Route du Rock 2013 : Le Cave se rebiffe

Cette édition 2013 de la Route du Rock s'est ouverte jeudi 15 août sur une première très belle soirée aux plaisirs variés, voire diamétralement opposés. De la classe folle de Nick Cave aux vertiges tribaux d'Electric Electric, il y en avait pour tous les goûts.

Route du Rock 2013 : Come shake your indy-booty !

Le public de la Route du Rock a la réputation de ne pas être facile à faire bouger. C'est en effet loin d'être usurpé, et nombre de concerts, même bien remuants, s'y sont déroulés devant une majorité de gens bras collés sur le torse et pieds solidement vissés au sol. Mais il arrive aussi parfois que tout parte joyeusement en vrille en un pogo jubilatoire, une virevoltante transe electro ou une suave suée discoïde. Après une édition 2012 chiche en boogie, les programmateurs ont rectifié le tir cette année avec une impressionnante armada de machines à bouger son popotin. Petite revue des armes de destruction massive de dancefloor.

Route du Rock 2013 : Par delà les remparts

Chaque année, la programmation de la Route du Rock réserve aussi son lot de petits trésors bien planqués en dehors du centre névralgique des deux scènes du Fort Saint-Père. Petite sélection hautement subjective des à-côtés de l'édition 2013 nous émoustillant le plus.

Route du Rock 2013 : L’empereur aux musiques fragiles

S'il y a bien un nom qui nous a particulièrement ravi dans cette programmation de l'édition 2013, c'est bien celui de Godspeed You ! Black Emperor. L'annonce de la venue de cette splendide et mythique bande de québécois a immédiatement déclenché dans l'équipe d'Alter1fo, une danse de joie frénétique. Retour sur l'aventure de ce groupe singulier et essentiel des années 2000.

BD en juillet : le noir est une couleur froide

Puisque l'été se décide étonnamment à être estival, nous vous proposons ce mois une sélection apte à vous rafraîchir les idées. Attention, ne vous attendez cependant pas à une brise légère, on parlera plutôt sueurs froides et frissons dans le dos. S'il fait bien frais dans les ombres d'un Baltimore fantasmé ou d'un tueur en série terriblement humain, vous ne serez jamais totalement sûr de ne pas finir votre sieste sur un de ces transats métalliques et climatisés de la morgue locale.