Les mésaventures de la ligne B du métro rennais n’en finissent plus de surprendre. Et pas forcément dans le bon sens. Après plusieurs années de report de la date d'ouverture (la mise en service était attendue dès 2020, NDLR), des pannes successives et des mises à l'arrêt, sans oublier l'incendie d'un poste de redressement du garage-atelier, un nouvel épisode judiciaire vient s’ajouter à cette saga. En effet, la métropole de Rennes vient d’être condamnée par le tribunal administratif à verser plus de 170 000 euros à l’entreprise Serfim TIC, spécialisée dans les solutions d'ingénierie et de communication, au titre de prestations complémentaires liées au projet.