Une fresque qui n'est ni au plafond, ni sur les murs, ni même peinte, mais au sol et faite de briques. Une belle manière de réenchanter l'espace urbain.
La question du devenir des ouvrages de couverture de la Vilaine en plein centre-ville a toujours fait débat. Pourtant, la transformation imminente du Palais du Commerce nécessitera inexorablement le réaménagement des espaces publics aux abords du bâtiment et de la place de la République. Des décisions devront donc être prises rapidement.
Reliant l’avenue Janvier à la rue Saint-Hélier, la rue de la grippe à Rennes est une toute petite ruelle piétonne, longue d’à peine une trentaine de mètres. Avoir le nom d’une maladie n’est pas anodin et plutôt cocasse. Cela ne nous a d’ailleurs jamais laissé insensible et notre imaginaire foutraque supposait déjà que celui-ci avait été donné à la suite d’une épidémie mortelle qui aurait fait de nombreuses victimes, toutes décédées dans d’atroces souffrances. Mais c'est une méprise de notre part sur la signification du mot grippe ici ! Voici sa véritable origine...
Lorsque nous avons entendu parler de l’ouverture d'un nouveau lieu non embrigadé par la municipalité et qui ne servira pas de point de chute à des soirées de type «sans-alcool-la-fête-est-plus-folle », il nous était impossible de ne pas parler de ce projet porté par 4 associations rennaises.
Deuxième épisode de notre série. L'anarchiste espagnol et son bar ouvrier dans la ville industrieuse d'après-guerre. C'est l'histoire de Ramon à Rennes, et du Rennes de Ramon, et c'est l'histoire de son fils Pedro.
À l'heure de la retraite, Pedro nous raconte l'histoire de son bar mythique ; c'est aussi l'histoire de son père, l'anarchiste Ramon Mestre. Ce premier épisode d'une série de 3 articles s'ouvre sur les heures tragiques de l'Espagne républicaine et nous emmène, au gré des errances de Ramon, jusque dans la Rennes d'après-guerre.
Nombreux furent les rennaises et rennais à s’être déplacés pour rendre un dernier hommage au mur «Dubo Dubon Dubonnet» avant sa destruction prévue courant juin. Hommage concocté et réalisé par le Collectif de l'Inédit, la Sophiste.
Les samedi 28 et dimanche 29 avril ont permis aux Rennais de visiter les fouilles du Couvent des Jacobins : cette visite était aussi une formidable opportunité de découvrir ce site exceptionnel, encore largement méconnu. Retour en images.