Lundi 02 mai, 5h45, un nombre impressionnant de représentants de l’ordre, casques sur la tête et matraques à la main, ont délogé les quelques 140 personnes, demandeurs d’asile, qui occupaient depuis plusieurs mois le 280, rue de Fougères. Sur ordre de la Préfecture, certes. Mais le Dal dénonce également l’inaction de la ville de Rennes.
Événement pour l'art contemporain à Rennes : 40mcube fête ses 10 ans le vendredi 22 avril. À cette occasion sera annoncée son installation définitive dans le bâtiment actuellement investi par l'association. L'occasion de faire le bilan ? Pas vraiment, tant 40mcube regarde toujours de l'avant pour promouvoir l'art contemporain. Petit état des lieux avant les festivités.
Ouvert le 25 février dernier par les militants de Droits Au Logement, le squat du 280 rue de Fougères accueillait alors 80 demandeurs d’asile. Les bâtiments désormais trop étroits pour les habitants, ce sont des tentes qui abritent les nouvelles familles. Si la Préfecture assure régulièrement qu’elle va reloger les résidents, les militants du DAL, eux, ne croit plus guère en ses promesses.
La soirée, déjà bien avancée, voit quelques voitures s’engouffrer sous le pont de la voie ferrée, plaine de Baud. Un robot géant totalement incongru, assemblage de matériaux de récupération, garde l’entrée des locaux de L’Elaboratoire. Ici, une communauté d’une soixantaine de personnes vit, travaille et tente de construire un nouveau modèle de société, basé sur le partage et l’autonomie. Le mardi, c’est le jour de la réunion hebdomadaire ouverte aux personnes extérieures au collectif. Une réunion qui semble inscrire le projet de l'Elabo sur la durée... Et sur les terrains de la plaine de Baud. Pourtant...
La ville de Rennes met le paquet pour offrir un lifting au parc du Thabor. La preuve avec la coûteuse rénovation du kiosque, inauguré samedi 2 avril par le maire, Daniel Delaveau.
Le site de bons plans fonctionnant sur le principe de l'achat groupé promet des réductions alléchantes jusqu'à -70%. Mais à y regarder de plus près, les consommateurs ne sont pas toujours gagnants...
L’Hôpital des nounours a fait son grand retour du 23 au 25 mars à Rennes. Accueils de loisirs sans hébergement et écoles maternelles, les petits âgés de 4 à 6 ans ont réalisé un parcours initiatique dans le but de réduire leur peur du milieu hospitalier et des blouses blanches…
L’augmentation constante du nombre de repas offerts par les centres d’activités des Restos du cœur est le signe évident de la paupérisation de certaines strates de la société française. Avec un million de repas servis en une année, l’Ille-et-Vilaine est à l’unisson de la dramatique tendance qui traverse l’association : circonscrire tant que faire se peut l’appauvrissement de plus en plus de Français. Les bénévoles des restos se battent mais jusqu’à quand ?
Il y a juste une semaine, le film documentaire "Parcours Sensibles" d'Olivier Barbier était projeté à l'Antipode. Retraçant les principales étapes d'un projet de découvertes artistiques et culturelles en direction de personnes en situation de précarité initié par Cultures Electroni[k], le film a fait salle comble. Et pour cause ! Présentation d'un projet fort, permettant à des gens habituellement laissés de côté, de reprendre une vraie place. Leur place.
La soirée, déjà bien avancée, voit quelques voitures s’engouffrer sous le pont de la voie ferrée, plaine de Baud. Un robot géant totalement incongru, assemblage de matériaux de récupération, garde l’entrée des locaux de L’Elaboratoire. Ici, une communauté d’une soixantaine de personnes vit, travaille et tente de construire un nouveau modèle de société, basé sur le partage et l’autonomie. Le mardi, c’est le jour de la réunion hebdomadaire ouverte aux personnes extérieures au collectif. Une réunion qui semble inscrire le projet de l'Elabo sur la durée... Et sur les terrains de la plaine de Baud. Pourtant...