[Histoire] : La Vilaine, scène d’une expérience spectaculaire !

Ouest-éclair : 29 janvier 1934 Sur la Vilaine, la vie est souvent un long fleuve tranquille (sauf accidents dramatiques). Quelques balades nautiques ponctuent le calendrier lors d'événements culturels ou festifs, et parfois, quelques passionné·es s'y adonnent à la pêche. Rien de bien spectaculaire, en somme. Pourtant, le fleuve a connu son lot d’audace. On se souvient récemment par exemple de l’idée un brin déjantée d’Anthony Folliard de naviguer à bord d’un bateau… en carton ! Conçu spécialement pour l’occasion, ce one-shot, comme on le dit dans les milieux avertis, fut un véritable exploit. Mais bien avant cette aventure, en 1934, une autre expérience avait captivé les foules rennaises. Devant des milliers de spectatrices et spectateurs, Julien Guillaume fit la démonstration de son invention révolutionnaire : un sous-marin insubmersible ! On vous raconte.

Auditorium et chapelle cellulaire à la prison Jacques-Cartier

Licence CC-BY-NC-ND Rennes prison Jacques-Cartier Un message publié dans le groupe Facebook "Il était une fois Rennes" a attiré notre attention. Il y partage une illustration du Petit Parisien datant de 1903, représentant une salle de conférence singulière au sein de la prison de Fresnes. Selon lui, un dispositif similaire aurait été instauré à la prison Jacques Cartier de Rennes.

Le « vieux Rennes » croqué par Théophile Busnel

Par une heureuse coïncidence, notre attention a été captivée par l’ouvrage intitulé ‘Géographie pittoresque du département d’Ille-et-Vilaine‘, rédigé par M. Adolphe Orain en 1882. À l’intérieur de cette œuvre, des dessins à la plume inédits (pour nous, en tout cas) du célèbre peintre et illustrateur français Théophile Busnel. Nous avons le plaisir de les présenter […]

PARTIE 3 – De nouvelles archives dévoilées sur le camp d’internement des nomades de Rennes

nous avons appris récemment l'existence d'un camp d'internement des populations tziganes à Rennes (Lire Partie 1 - Un camp d'internement des nomades à Rennes, NDLR) durant la Seconde Guerre mondiale, créé à la demande de l'occupant allemand, et surveillé par la police française. Après un premier travail de recherche documentaire, nous avons eu envie de pousser nos investigations en allant aux archives départementales. Et pour nous, c’était une première. Il n'est jamais trop tard pour bien faire !