On vient de retrouver le chainon manquant entre hippies et punks. Malgré tout, cette nouvelle exceptionnelle ne doit pas nous réjouir, car on vient d'apprendre que Mick Farren (le chainon manquant) a cassé sa pipe fin juillet.
Lumière sur l’un des groupes programmé dans le cadre du festival I’m From Rennes. Death Or Glory est un groupe de punk/rock rennais en devenir. Interview.
Quand un groupe comme Wire sort un nouvel opus 35 ans après leur premier album, on est toujours partagé entre crainte et excitation. Ce que je ne savais pas de prime abord, c'est que l'idée du groupe était de reprendre certaines chansons écrites vers 1979/1980 qui n'avaient jamais été finalisées à l'époque.
L'histoire s'est arrêtée il y a presque 11 ans, quand Dominique Laboubée s'est effondré sur scène, foudroyé par un cancer. C'était le 25 septembre 2002, Les Dogs débutaient leur première tournée Américaine au « Lucky Dog Music Hall » à Worcester. Ils venaient de jouer « Death Lane ».
Léonard Taokao présente ici son 2ème roman qui fait suite au « Carabistouilles Fiction » chroniqué il y a tout juste un an pendant les élections pestilentielles qui nous promettaient, à nous, pauvres larves laborieuses des lendemains qui chantent. Mais, « rien n'a encore changé » dirait un célèbre groupe de muridés déglingués. Alors on s'est remit fissa au boulot, et Taokao le premier, pour nous livrer ce conte urbain croquignolesque.
Certains bouquins font chaud au cœur et celui ci, qui compile l'intégralité des textes de Jello Biafra, l'ex-chanteur des Dead Kennedys, l'est à plus d'un niveau. Bien évidemment, nous allons revenir sur la longue et chaotique carrière du trublion du Hardcore, mais ce sera aussi l'occasion de parler de l'éditeur, Rytrut qui vient d'accomplir une nouvelle fois un travail remarquable
C'est l'histoire d'un livre maudit qui va nous plonger aux tréfonds des racines du Rock'And Roll tout en narrant l'une des plus romanesques histoires d'amour que le Rock puisse conter. Car que sont les finalement les Cramps ? Scientifiquement parlant, ce serait les fameuses douleurs abdominales caractéristiques de l'arrivée des menstrues.
S'il est bien un mouvement qui traine une fâcheuse réputation, c'est bien le mouvement Skinhead. Pourtant tout n'était pas si noir (ou blanc) à l'origine. En effet ces jeunes prolétaires agités vouaient un tel culte à la culture Jamaïcaine de la fin des sixties que lorsqu'elle prit le virage du Rastafarisme au début des années 70, cela stoppa brutalement l'ascension de cette mouvance. Plus tard avec l'arrivée du Punk et sous fond de crise économique, une bonne partie du renouveau Skinhead flirtera pour son plus grand malheur avec l'extrême droite et entérinera de fait son statut de mouvement maudit.
En s'essayant sur le terrain glissant du dictionnaire rock, Pierre Mikaïloff ne cherche pas la simplicité. En effet essayer de définir quelque chose dont le leitmotiv pourrait être « Une seule règle, pas de règle » est pour le moins cocasse. Le sous-titre « Punk Rock 1969-1978 » permet d'expliciter ostensiblement le propos de l'auteur. On ne s'intéressera ici qu'à la genèse du punk jusqu'à son explosion en 1976-1978.
Ce qui pourrait être pris de prime abord comme une bonne blague de potache, a pris une toute autre signification à la fin de cette brillante soirée organisée par le Mondo Bizarro. La thématique de la soirée était donc du folk avec du punk dedans, ou pour être plus précis, du folk joué par des punks.