Théâtre La Paillette : un Domaine St Cyr entre femmes et lessives…

Surtout connu aujourd'hui pour être un grand parc de verdure privilégié pour les piques-niques printaniers et les siestes estivales, le Domaine St Cyr a connu des heures moins festives... où des jeunes filles et femmes, laveuses-lavandières contraintes et forcées, ont blanchi le linge des rennais en usant leurs doigts dans l'eau savonneuse du lavoir sur ce bras de l'Ille. Marine Bachelot Nguyen, de la Compagnie Lumière d'Août, s'est penchée sur ce passé pas si lointain. "Histoires de femmes et de lessives" est un spectacle déambulatoire retraçant la mémoire du Domaine St Cyr et de ces femmes, qu'on voulait cacher et rééduquer par le travail. A ne pas rater vendredi 11 septembre !

Mythos 2015 : Si tu me survis par la Cie Clinic Orgasm Society

La vieillesse et notre appréhension de cette dernière interroge. En témoigne plusieurs travaux programmés pour cette édition de Mythos 2015 qui questionnent le dialogue intergénérationnel et la vieillesse dont Si tu me survis par la Clinic Orgasm Society, projet en résidence à l'Aire Libre depuis janvier 2015...

Mythos 2014 : Fractal

Encore un spectacle "Work in progress", c'est un cadeau Mythos ! A suivre donc la nouvelle création de Clément Thirion. Après son ovni [weltanschauuung], l'artiste continue à sonder l'univers, entre recherche extraterrestre et géométrie...

Un « Zig et More » sur le fil, à la Paillette.

« Zig et More » est le premier opus d’une série de 12 pièces intitulée « Chroniques du Grand Mouvement » de Marine Auriol. Gaëlle Héraut met en scène avec précision ce premier opus qui interroge le temps, le temps d'après, le conflit, l'opposition...

« Tout va mieux » à la Paillette

Le groupe Vertigo, anciennement connu sous le nom de compagnie « article 15 » présente du 22 au 25 mars 2011 « Tout va mieux » de Martin Crimp à la Paillette.

Pour rire, pour passer le temps… à Mettre en scène

Elles sont quatre, quatre silhouettes alignées devant le fond noir du décor, quatre ombres, quatre hommes encore égaux dans la pénombre. Devant eux, un carré de mirage huileux. Lorsque la lumière dirigée vers les spectateurs en vase communiquant s’évade puis envahit le plateau, elle cisèle l’onde à la surface d’un bassin jusqu’alors supposé, projette son oscillation sur le mur : la scène est un plan d’eau, arène liquide où l’on patauge.