L'info vient de Mary Weiss des Shangri-Las. L'homme de l'ombre n'est plus, une longue maladie vient de l'emporter. Celui dont la spécialité était les romances brisées s'en est allé le jour de la saint Valentin.
Quand j'ai croisé Stéphane Grangier au salon du polar de Larmor-Plage,le bien nommé, « Larmor aux trousses », il m'avait grandement mis en garde par rapport à certaines de ses nouvelles qui pouvaient choquer. En bon Punk qui se respecte et qui se nourrit exclusivement des immondices de l'humanité, j'avais juste répondu par un haussement d'épaule.
C'est l'histoire d'un livre maudit qui va nous plonger aux tréfonds des racines du Rock'And Roll tout en narrant l'une des plus romanesques histoires d'amour que le Rock puisse conter. Car que sont les finalement les Cramps ? Scientifiquement parlant, ce serait les fameuses douleurs abdominales caractéristiques de l'arrivée des menstrues.
Les fins d'années ont toujours quelque chose d'un peu déprimant, c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles tant de fêtes ont lieu en si peu de temps, comme si la fin du monde arrivait à grand pas et qu'il ne fallait pas en perdre une goutte.
S'il est bien un mouvement qui traine une fâcheuse réputation, c'est bien le mouvement Skinhead. Pourtant tout n'était pas si noir (ou blanc) à l'origine. En effet ces jeunes prolétaires agités vouaient un tel culte à la culture Jamaïcaine de la fin des sixties que lorsqu'elle prit le virage du Rastafarisme au début des années 70, cela stoppa brutalement l'ascension de cette mouvance. Plus tard avec l'arrivée du Punk et sous fond de crise économique, une bonne partie du renouveau Skinhead flirtera pour son plus grand malheur avec l'extrême droite et entérinera de fait son statut de mouvement maudit.
Le weekend dernier avait lieu en plein festival des Indisciplinés, la remise des prix de la 4ème édition du grand concours d'écriture de nouvelles Rock rganisé par l'association Café Castor. L'idée du concours était simple, il suffisait d'envoyer un texte de 8 pages et d'y ajouter le titre d'une chanson pour en illustrer le propos.
En s'essayant sur le terrain glissant du dictionnaire rock, Pierre Mikaïloff ne cherche pas la simplicité. En effet essayer de définir quelque chose dont le leitmotiv pourrait être « Une seule règle, pas de règle » est pour le moins cocasse. Le sous-titre « Punk Rock 1969-1978 » permet d'expliciter ostensiblement le propos de l'auteur. On ne s'intéressera ici qu'à la genèse du punk jusqu'à son explosion en 1976-1978.
Ce qui pourrait être pris de prime abord comme une bonne blague de potache, a pris une toute autre signification à la fin de cette brillante soirée organisée par le Mondo Bizarro. La thématique de la soirée était donc du folk avec du punk dedans, ou pour être plus précis, du folk joué par des punks.
Jean-Noël Levavasseur est un jeune homme dynamique. Il publie coups sur coups deux ouvrages de nouvelles noires qui rendent hommage à La Souris Déglinguée et aux Doors. Le principe, c'est que les auteurs piochent une chanson dans le répertoire de chaque groupe et s'en inspirent pour écrire une nouvelle
La rentrée est sans aucun doute le moment le plus pathétique de l'année. A l'heure de retrouver nos doux foyers sécurisés(voir « Safe European Home » du Clash), il faut en plus se replonger dans les affres d'une aliénation laborieuse. Pour se remettre dans le bain, au sens figuré, vous l'aurez compris, autant attaquer par deux romans noirs qui exploitent précisément le sillon délicat du sens de la vie.