Le 13 et 14 novembre, rendez-vous au Lycée de Combourg (Ille et Vilaine) pour la première édition des Confidenciels, salon des petits éditeurs indépendants. Cette rencontre réunira une quinzaine d'éditeurs indépendants pour deux jours de découvertes, rencontres, dédicaces et animations.
Avec « En atendant » (avec le t unique de l’ancien français), Anne Teresa de Keersmaeker et la compagnie Rosas ont fait un retour triomphal au festival d’Avignon au mois de juillet dernier...
Le festival Electroni[k] programmait ce vendredi à la MJC Bréquigny une déambulation en famille entre plusieurs lieux insolites pour écouter de la musique sous casque. Eliel, petit reporter en herbes, nous fait part de son parcours.
Pour cette troisième soirée du festival Electroni[k], le programme était chargé ce mercredi soir au Diapason, Centre Culturel de l’université de Rennes 1 : soirée consacrée au compositeur américain Steve Reich. Aucun détail à l’avance sur les pièces présentées, mais le nom d’un des fondateurs de la musique improprement qualifiée de minimaliste aura suffi à remplir l’auditorium.
Après deux années de travaux, la liquidation de l’Echo Théâtre, précédente association gestionnaire du lieu, le Joli Collectif inaugure samedi le nouveau Théâtre de Poche.
Dimanche c’est la dernière soirée de la 20ème édition de la Route du Rock et le programme est alléchant ; les californiens Ganglians ayant fait faux bond ce sont les suédois de Thus:Owls qui ouvrent la soirée.
Si le premier soir pas une seule goutte de pluie n’a fini sa course dans l’enceinte du fort, c’est les pieds dans la boue et le visage emmailloté dans la capuche de nylon que débute cette seconde soirée.
Selon l'adage, « Route du rock sous la pluie, route du rock réussie ! » S'il est encore tôt pour le dire, la pluie est bien présente sur la cote de la manche ce samedi et les vêtements caoutchoutés et les ombrelles de nylon sont de sortie.
Du coup,
A l’occasion de la présentation de leur nouveau spectacle « RB&QdP » du 24 au 26 juin à la salle Guy Ropartz à Rennes, la compagnie Ladaïnha parle de son travail, de son besoin vital de danse, de la transformation des corps, des matériaux, de son désir profond d’un mouvement positif de création…