Rencontre avec Beatrice Macé, co-directrice et membre fondateur du festival, elle gère les a-cotés d’un festival qui ne se limite pas seulement à un festival de musiques.
Sponsoring, environnement, contexte rennais, scène locale, actions culturelles .. tout où presque y est abordé.
Coté nouveautés, cette année, si on excepte le retour dans le centre ville à la « salle omnisport » (Liberté) , les organisateurs s’essayent à l’éclairage basse consommation sur la scène du Liberté (les photographes vont pester encore du manque de lumière sur la scène), le mécénat (différent du sponsoring ? ), et un concert en son spatialisé – on y reviendra, de la danse, de l’art contemporain, etc..
Enfin comme chaque année, on sent le désir de défricher et pas que dans les oreilles …
Bonjour Béatrice, Présentation en règle de ton rôle dans l’organisation du festival.
Qui y’a-t-il en plus des concerts aux rencontres Transmusicales ?
Vous avez exprimé depuis quelques années l’idée d’un festival conscient de son impact environnemental via Agenda 21, en quoi cela consiste t’il ?
Les sponsors privés sont assez présents, en plus de l’implication des acteurs publics (Ville-Région-Etat), n’est-ce pas une forme de privatisation du festival ?
Pourtant c’est la tendance actuelle (de privatiser les festivals ) en Europe, vous sentez vous concernés ?
Pourquoi « les Trans » existent elles à Rennes et pas ailleurs ?
30 ans après est-ce toujours le cas ( la particularité de Rennes ) ?
Enfin as tu un conseil à donner aux festivalier pour s’y retrouver dans tous ces concerts et actions culturelles ?
En guise d’analyse et de conclusion de cet entretien il en ressort quelques critiques, vis-a-vis de la ville de Rennes, qui en général n’a pas exploité complètement son image « rock » et développer les infrastructures nécessaires aux festivals & artistes. Néamoins elle n’a pas aussi – selon Béatrice Macé – surexploité cette image en communication.
Ce qui est positif dans cette analyse c’est c’est avant tout des Rennais -et non des décideurs – qu’a émergé cet « aliage particulier rennais » dont les rencontres Transmusicales sont issues.
Nos rubriques spéciales Transmusicales 2009
Un grand merci pour cette interview…
C’est passionnant de bout en bout !
Voilà plein d’aspects des Trans que j’étais loin d’imaginer…. (notamment l’aspect environnemental)
Merci pour ce nouvel éclairage…
et oui, y’a pas que jean louis …
Plus d’un million deux de fric public quand même, qu’est-ce qu’il fout Sarkozy ?
Blague à part, je n’ai pas bien compris ce que la dame attend de la ville maintenant.
d’accord avec toi fix! Elle dit qu’elle ne veut pas que cela soit privatisée et plus tard elle dit le contraire !