Totale Soirée pour Kerviniou Recordz

Ces diables d'Anglais l'ont fait. Après deux prestations au bar'Hic désormais gravées bien haut au fronton de nos concerts les plus mémorables, les Total Victory ont livré au Jardin Moderne mardi 16 février, une prestation d'anthologie, surpassant encore en intensité les précédentes. Ajoutez à ça, la classe inoxydable des Møller Plesset et vous obtenez une soirée tout simplement parfaite. Retour sur un superbe paquet de promesses, pour une fois, toutes tenues haut la main.

Les Embellies 2016 – Samedi somptueusement foutraque au Jardin Moderne

Grâce à une programmation riche et des plus soignées, entre découvertes, soutien à la scène locale et artistes confirmés, cette 18ème édition des Embellies viendra conforter une fois encore du 2 au 5 mars la place devenue incontournable que tient le festival dans l’agenda culturel rennais. C’est intelligent, malin, ouvert et surtout diablement excitant ! Le bouquet final de cette édition 2016 aura lieu samedi 5 mars au Jardin Moderne. Patchrock s'est mis en quatre pour vous y proposer une folle soirée entre math-rock de derviche synthétique, pop brindezingue, rock ciselé jusqu'à l'os, et chanson savoureusement psychédélique.

Embellies 2016

Grâce à une programmation riche et des plus soignées, entre découvertes, soutien à la scène locale et artistes confirmés, cette 18ème édition des Embellies viendra conforter une fois encore du 2 au 5 mars la place devenue incontournable que tient le festival dans l’agenda culturel rennais. C’est intelligent, malin, ouvert et surtout diablement excitant ! […]

Le cinéma est mort depuis 10 ans

Nos cinécrophiles de Canal B préférés fêtent cette semaine le dixième anniversaire de leur émission mortelle (Le cinéma est mort, bien sûr) . Nos joyeux zigues l’affirment : « 10 ans plus tard on est toujours là, le Cinéma, lui, n’en finit pas de mourir et, en bons cinécrophiles, on continue à abuser joyeusement de son […]

« La rouille » ou le côté obscur du street-art…

Sombres, noires, dépouillées, loin des graffs "pop art" aux vives couleurs, les peintures de "la Rouille" sont d'immenses fresques représentant le plus souvent des visages. A l'instar de l'espagnol Borondo, l'atmosphère qui s'en dégage semble tout droit sortie d'un mauvais rêve. Comme des fantômes hantant les lieux ou des gardiens d'une intemporalité que l'auteur voudrait apprivoiser. Impossible d'y rester insensible.