« La rouille » ou le côté obscur du street-art…

Sombres, noires, dépouillées, loin des graffs "pop art" aux vives couleurs, les peintures de "la Rouille" sont d'immenses fresques représentant le plus souvent des visages. A l'instar de l'espagnol Borondo, l'atmosphère qui s'en dégage semble tout droit sortie d'un mauvais rêve. Comme des fantômes hantant les lieux ou des gardiens d'une intemporalité que l'auteur voudrait apprivoiser. Impossible d'y rester insensible.

L’art urbain emprunte avec bonheur les murs rennais.

Mathias Breze, avec le soutien de ses amis peintres de la graffiteam, a fait éclore le premier festival d'art urbain à Rennes : le Teenage Kicks. D'ores et déjà une réussite. Et la deuxième édition attendue dans deux ans.