Culture et +
Buzz des Coquecigrues, première!
Pour combattre la morosité des dimanches, pas besoin de vaccin, les Coquecigrues vous concoctent pour la 6è édition, des spectacles vivants sur Rennes et ailleurs. En attendant le lancement de ce remède miracle à la dimanchonite aïgue, quatre temps forts seront proposés sur la toile par l'association à Tort ou à Roazhon. Découvrez le 1e buzz de cette série dont vous choisissez la suite!
Silie Hebdo: Les Charlots en Afrique du Sud
Pour rire, pour passer le temps… à Mettre en scène
Elles sont quatre, quatre silhouettes alignées devant le fond noir du décor, quatre ombres, quatre hommes encore égaux dans la pénombre. Devant eux, un carré de mirage huileux. Lorsque la lumière dirigée vers les spectateurs en vase communiquant s’évade puis envahit le plateau, elle cisèle l’onde à la surface d’un bassin jusqu’alors supposé, projette son oscillation sur le mur : la scène est un plan d’eau, arène liquide où l’on patauge.
Mettre en scène 2009 : Coup de projecteur sur la compagnie portugaise Teatro Praga
Padam padam… Cette chanson d’Edith Piaf que l’on fredonne comme un brin de nostalgie. Il me fait le coup du « Souviens toi » chantait-elle… C’est un peu de cette nostalgie dont il est question, du temps qui passe, du temps que l’on ne prend pas pour s’écouter, échanger avec ceux que l’on aime. Malgré cette entrée qui paraît un peu gentillette, Padam padam n’en est pas moins drôle et décalé.
Lectures pour novembre
Ce mois-ci, deux romans. Deux mille-feuilles d'histoires qui racontent l'autre côté de l'océan.
Silie Hebdo: La grande question du moment.
Retour sur l’étrange cabaret du Dr Fullmoon à l’Antipode
Une nouvelle séance de soins était organisée hier soir à l'Antipode, prodigués par le bien curieux Dr Fullmoon et toute une équipe artistico-médico-déjantée dans une ambiance cabaret drapée de projections et bruitages en tout genre.
Mettre en scène 2009 : Rodrigo Garcia choque par une performance violente et incompréhensible
Pour le festival Mettre en scène, Rodrigo Garcia proposait sa création ‘Muerte y reencarnacion en un cow-boy’. Un spectacle qui a laissé perplexe une grande partie du public, reparti dans une incompréhension totale pour les personnes qui ont réussi à tenir jusqu’au bout de la performance.
399 secondes : c’est beau une création…
c’est beau et c’est fragile… ça ressemble à un mobile ; c’est la première fois qu’on l'accroche, on avait dans la tête l’idéal de l’équilibre, on s’aperçoit que le levier ici, est trop court par rapport à la légèreté de la silhouette dessous ; on anticipait une disposition harmonieuse des portions de matière dans l’espace et comme toujours du coté de la confiture tombe la tartine, de la rotation aléatoire des segments naît la répartition la plus fâcheuse.