A lire le soir au coin du feu... oui, certes... mais pourquoi pas aussi à l'aube perché dans un arbre ou bien à l'heure du goûter sur le trottoir devant l'école ou encore en le cachant dans le bouquin de maths entre 10 et 11 ?
Ne faites pas cette tête-là, ouvrez les yeux et les oreilles, voyagez sans bouger et racontez à nouveau avec vos propres mots, c'est le destin des contes du monde !