Un Ubu archi-comble accueillait jeudi dernier les réjouissances célébrant la sortie du quatrième et parfait album de Bikini Machine "Bang On Time!". L'heureuse succession des concerts et des sets dj s'est révélée à la hauteur de l'enregistrement (le meilleur?) du combo rennais, avec une belle odyssée auditive dérivant quelque part entre les tracks des compilations Wizzz!, Nuggets et une musique de film imaginaire, le tout boosté par une érudition commune de tous ces acteurs autour des sixties.
Après un silence discographique de cinq (longues) années, les Bikini Machine reviennent avec grand bruit (le bien nommé "Bang on Time!") et viennent fêter la nouvelle galette avec quelques collègues naturellement obsédés par les mêmes passions sixties, garage ou yéyé.
Si la venue d'un groupe pionnier du post-punk US comme Pere Ubu constitue un évènement, en soi, dans n'importe quelle ville, elle prend, dans la ville d'Alfred Jarry, des Transmusicales et de...l'Ubu, une consonance particulière: Retour sur une histoire de (pata)physique et de rock industriel qui commence au Lycée de Rennes (actuel Lycée Zola)... en 1888!
Les chanceux qui ont attrapé leur sésame suffisamment tôt assisteront jeudi et vendredi 29 et 30 janvier à l'enregistrement du disque Live du combo hollandais Birth of Joy. Ça devrait balancer, au regard des récentes prestations rennaises des trois énervés stoners sous stéroïdes (sic), à Rennes chez eux depuis leur prestation remarquée aux Transmusicales 2012.
Le festival des Bars en Trans 2014 est terminé, le marathon-concert des deux derniers jours s'est avéré riche en belles découvertes, parfois aussi en réelles déceptions. Nous sommes concentrés, pour notre part, sur les troquets autour de la place des Lices, avec une belle variété de sons. Avec une dominante rock, quand même.
Froid polaire sur la ville hier soir et canicule dans les rades. Pourtant les Bars en Trans 2014 se sont lancés doucement avec quelques concerts en apéritif vers 18h et une audience plutôt intime. Et puis le marathon de trois jours s'est mis en branle pour notre plus grand plaisir auditif. On y était et on vous raconte tout!
Avec un nom prédestiné pour faire la tournée, Cédric Streuli aka Buvette débarque au Chantier samedi 6 décembre pour les Bars en Trans, avec une musique originale, folk et électronique, qualifiée de synth-folktronica. Il nous a expliqué de quoi il retournait...
La grande fête rennaise du tympan approche et les Bars en Trans aussi ont dégainé leur programme. Les programmateurs, Philippe Le Breton et Bruno Vanthournout, l'ont dévoilé en début de mois, en annonçant quelques nouveautés et pas mal de coups de coeur. On vous raconte ça.
Vous avez déjà peut-être croisé les photographies de Sarah Le Fournis, aka La Menace, cet été, lors du festival Quartiers d'Été. Elle y montrait ses travaux tirés de longs séjours dans les villes d'Amérique latine marquées par les luttes sociales contemporaines, thème qui constitue l'un de ses points d'intérêt principaux. Elle expose aujourd'hui au bistrot de la Cité, rue Saint-Louis, une longue série de portraits de rennais, galerie érigée en alternative et en clin d'oeil aux "1OO qui font bouger la ville" de certaines couvertures de journaux.
Même les frileux du Punk y adhèreront, le nouveau Decline est excellent. La fête de sortie a lieu à l'Ubu, ce jeudi 29 mai. Quelques jours avant, on s'est donc invités à leur table, pendant l'apéro.
Un Ubu archi-comble accueillait jeudi dernier les réjouissances célébrant la sortie du quatrième et parfait album de Bikini Machine "Bang On Time!". L'heureuse succession des concerts et des sets dj s'est révélée à la hauteur de l'enregistrement (le meilleur?) du combo rennais, avec une belle odyssée auditive dérivant quelque part entre les tracks des compilations Wizzz!, Nuggets et une musique de film imaginaire, le tout boosté par une érudition commune de tous ces acteurs autour des sixties. 
Après un silence discographique de cinq (longues) années, les Bikini Machine reviennent avec grand bruit (le bien nommé "Bang on Time!") et viennent fêter la nouvelle galette avec quelques collègues naturellement obsédés par les mêmes passions sixties, garage ou yéyé. 
Si la venue d'un groupe pionnier du post-punk US comme Pere Ubu constitue un évènement, en soi, dans n'importe quelle ville, elle prend, dans la ville d'Alfred Jarry, des Transmusicales et de...l'Ubu, une consonance particulière: Retour sur une histoire de (pata)physique et de rock industriel qui commence au Lycée de Rennes (actuel Lycée Zola)... en 1888! 
Les chanceux qui ont attrapé leur sésame suffisamment tôt assisteront jeudi et vendredi 29 et 30 janvier à l'enregistrement du disque Live du combo hollandais Birth of Joy. Ça devrait balancer, au regard des récentes prestations rennaises des trois énervés stoners sous stéroïdes (sic), à Rennes chez eux depuis leur prestation remarquée aux Transmusicales 2012. 
Le festival des Bars en Trans 2014 est terminé, le marathon-concert des deux derniers jours s'est avéré riche en belles découvertes, parfois aussi en réelles déceptions. Nous sommes concentrés, pour notre part, sur les troquets autour de la place des Lices, avec une belle variété de sons. Avec une dominante rock, quand même. 
Froid polaire sur la ville hier soir et canicule dans les rades. Pourtant les Bars en Trans 2014 se sont lancés doucement avec quelques concerts en apéritif vers 18h et une audience plutôt intime. Et puis le marathon de trois jours s'est mis en branle pour notre plus grand plaisir auditif. On y était et on vous raconte tout! 
Avec un nom prédestiné pour faire la tournée, Cédric Streuli aka Buvette débarque au Chantier samedi 6 décembre pour les Bars en Trans, avec une musique originale, folk et électronique, qualifiée de synth-folktronica. Il nous a expliqué de quoi il retournait... 
La grande fête rennaise du tympan approche et les Bars en Trans aussi ont dégainé leur programme. Les programmateurs, Philippe Le Breton et Bruno Vanthournout, l'ont dévoilé en début de mois, en annonçant quelques nouveautés et pas mal de coups de coeur. On vous raconte ça. 
Vous avez déjà peut-être croisé les photographies de Sarah Le Fournis, aka La Menace, cet été, lors du festival Quartiers d'Été. Elle y montrait ses travaux tirés de longs séjours dans les villes d'Amérique latine marquées par les luttes sociales contemporaines, thème qui constitue l'un de ses points d'intérêt principaux. Elle expose aujourd'hui au bistrot de la Cité, rue Saint-Louis, une longue série de portraits de rennais, galerie érigée en alternative et en clin d'oeil aux "1OO qui font bouger la ville" de certaines couvertures de journaux.