La semaine dernière, le rédacteur en chef de Ouest-France, cœur sur la main et trémolos dans la voix, nous promettait « une veille attentive à la juste représentation des femmes dans le travail d’information. » Une promesse bien vite oubliée puisque dès le lendemain, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, les vieilles et mauvaises habitudes ont repris le dessus. En effet, le journal publiait, au calme, un article intitulé « la Journée de la femme dure un mois ». Alors non, la « Journée de la Femme », avec ou sans majuscule, n’existe pas.

Après nous être relevés de notre position latérale de sécurité, la rédaction du journal a été sensibilisée via les réseaux sociaux. Le papier a ainsi pu être corrigé.

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