Retour sur un festival à deux pas de la capitale, au milieu des champs et non loin de la célèbre forêt.
Faisant fi de leurs a priori urbains, nos envoyés spéciaux n’ont pas hésité à affronter les champs poussiéreux, les manières frustes des autochtones et la popote grasse servie aux festivaliers.
Ok, on y va fort et on avoue sans ambages notre attachement au Pays bréalais fort bien représenté chez les chroniqueurs d’alter1fo.
l’ambiance :
Un public jeune, composé d’habitués des festivals bretons mais aussi des villes et villages alentours, fort heureux de profiter d’un festival dans leur contrée
Bon nombre de spectateurs déploraient la médiocrité et le prix excessif de la nourriture sur place mais c’est tellement courant dans nos festivals que nous nous refusons de faire du festival du roi Arthur notre bouc émissaire.
On va commencer a titiller les « gros » et « vieux » festivals plutôt que celui de Breal sur ce sujet.
Donc on se lance : non, il y en a marre du gras, du cher, du pas cuit dans les festoches bretons. Arrêtez de prendre les festivaliers pour des bêtes a gaver (riches en plus) . Suivez l’exemple des Concerts de radio Sing Sing ou Agitato (pour ne citer qu’eux) qui arrivent à faire pas cher, simple et de qualité.
Bon stop, désolé chers organisateurs de Brèal, on a promis de ne pas (trop) vous embêter là dessus.
Un bon point pour l’accès handicapé, pas facile dans un champs d’accéder aux scènes, le tarifs très attractif et le petit marché de bons produits dans le bourg.
Le public était certes un peu éméché mais aussi convivial… c’est un festival, pas une garden party non plus…
Les Artistes:
Bon ou mauvais, tout les gouts …. Mais néanmoins si la formule se voulait festive et non élitiste, là le pari est gagné. Des cuivres, du son, de la déconne,… c’est homogène. Un bon point…
Ceci dit, tout le monde n’est pas forcément amateur mais personne n’a été pris en traitre sur ce terrain là.
On peut dire que cette éditon 2009 n’était que la deuxième, peut-être d’un longue série à venir (on le souhaite au village) et même si on pouvait parfois se croire à Bobital il y a quelques années (mais pas que pour le bon), on espère une amélioration globale de la formule – Tant dans la programmation que l’organisation et à un tarif toujours autant rikiki.
Heu juste un petit commentaire sur la bouffe :
« non, il y en a marre du gras, du cher, du pas cuit dans les festoches bretons. Arrêtez de prendre les festivaliers pour des bêtes a gaver (riches en plus) . Suivez l’exemple des Concerts de radio Sing Sing ou Agitato (pour ne citer qu’eux) qui arrivent à faire pas cher, simple et de qualité »
Le dernier Sing sing a frehel, n’est pas une référence non plus … aller jte taquine fafa mais il est vrai qu’une pitite amélioration ne serait pas de refus.
Un pti boeuf bourguignon par exemple ….
Chez Sing Sing : T’as pas connu la belle époque …..
Un couscous aux légumes bio pour moi…..
ok rien a ajouter ….