C’est le deuxième jour de notre campagne métalleuse, le temps est au beau et malgré une rude nuit qu’on pourrait résumer par la citation de notre voisin de camping : « PUTAIN !! ça pelle !! », nous reprenons le chemin du site impatients d’entendre à nouveau les roulements de kicks qui (presque) nous manquaient au petit matin.
Arrivés pour God forbid, juste ce qui était prévu. C’est exactement ce qu’il faut pour démarrer le festival-marathon : puissant, mélodique par moment. Et premières mise à mal des clichés sur le métal : chanteur et batteur sont noirs, un des deux autres membres à la boule à zéro. On voit passer un festivalier avec un masque anti-grippe A. Apparemment certains pensent qu’il n’y a pas que les oreilles qui prennent des risques. La statue de la liberté sur la scène s’en tamponne,elle perd sa flamme.
Le dernier jour, vous pouvez vous faire une grosse dose de progressif, profiter de très bons joueurs de claviers (hé oui, il n'y a pas que des guitares et des batterie dans le métal). On vous a choisi autre chose.
Il paraît que le festival sera complet. Pas sûr mais on peut prendre les paris que le samedi lui le sera. Pourquoi ? Parce que la tête d'affiche (Marylin Manson) ....
Parmi la jungle de groupes programmés, dur de s'y retrouver ! Regarde en détail sur la programmation du festival de black/death/hard-métal, avec notre sélection des groupes à ne pas manquer.
Depuis que j'ai reçu le satané disque de Sylvia Hanschneckenbühl "Does Not Sing Christmas", il
m'est impossible de m'en défaire. Une grâce est née.
Une grâce venue de la lointaine Lorraine, amatrice de friches post-industrielles. Peut être même qu'elle n'a jamais vu la mer. Enfin, là je m'avance un peu, vu que l'album à été enregistré à Brest, et qu'au bout du monde, c'est le festival des flots.
L'album est un délice de douceur.
Monsieur Roux et son équipe étaient de passage par le Sablier la semaine dernière pour un show case de sortie d'album. Entretien avec le trio devenu quatuor.
Pour fêter la fin de saison, un seul groupe et un deejay. Pauvre?...oui mais voilà, l'orchestre en question, c'est Fishbone. Autant dire l'énergie de 15 groupes et une musique fusionnelle qui porte en elle les germes d'une sacrée flopée de rythmes différents. A voir ce mercredi 10 juin à l'Ubu.