L’année démarre sur une bien triste nouvelle. Le point G n’existe pas. Disparu, victime du réchauffement climatique ? Personne pour nous le dire. Ce mythe que dis-je, ce graal qui conduit chaque homme dans une quête sans fin (ou sans fond) s’est effondré sous le poids des certitudes scientifiques.
Quel beau métier que celui chercheur de point G. Cela doit être passionnant mais fatiguant. Je pense à ce film de Bertrand Blier « Calmos » avec Jean-Pierre Marielle. Je l’imagine comme ça le laborantin avec son sandwich au pâté et sa bouteille de Bourgogne. Il faut en effet préciser que le chercheur de point G ne boit pas de Bordeaux. Impossible ! Pas assez nerveux, pas assez sanguin, il lui faut la finesse et le poivré des grands Bourgognes rouges. Pardon, je me disperse, revenons à notre cher disparu. Mesdemoiselles, Mesdames je suis sincèrement désolé pour vous. Fini les amants fougueux qui mettaient un point d’honneur à découvrir votre G. Désormais la chair sera molle et triste. Refusons la morosité de saison et rejoignons tous le groupe Facebook: « Sauvons le point G du positivisme scientifique ! ». Merde, je n’ai pas de Facebook.
Silie
Messieurs Silie & Guillaume,
Pour cette année 2010, j’en profite pour vous la souhaiter bien dure et vigoureuse !
L’étude n’a pas été faite outre-manche ? Si c’est sur des anglaises, ça compte pas.
Comment on traduit « excited » ?
contrairement a berlusconi qui lui pensait que le point g de la femme etait la letrre g de shopping continuez tous les deux c’est genial