Mr B. vient en guest avec un Extra Life décapant, Fix se fait piquer Torche presque sans rien voir, Christophe se rappelle de My Bloody V. C'est l'avant-dernier Music Machine avant l'été.
On aurait pu croire que Christophe Brault avait pioché dans la discographie de Fix pour emmener son UFOMMAMUT dans cette émission de mai, mais en fait non. Fix bat quand même aux poings le mammouth de Christophe, avec ses Shuggahs. Enfin MESHUGGAH. Si on ajoute les quelques bijoux oldies des années 80 de fin d'émission, la preuve est faite que Music Machine est une émission assurément dansante.
Christophe Brault a baguenaudé parmi les dizaines de nouveautés du printemps pour vous concocter un petit panier à emporter, avec à babord un groupe français (Skip the Use), à tribord un groupe japono-anglo-suédois vivant en France (Tristesse Contemporaine) - vous suivez toujours? - et, à 51 min 46 sec, une brève mais intense immersion dans les verts paturages. Le printemps, on vous dit.
Mercredi 4 avril à 18h à l'Antipode, Christophe Brault vous raconte le ROCK PROG et les albums-concepts. Suite du voyage à 20h30 avec les élèves du Conservatoire pour une (re)visite de l'album Fragile de YES. Entrée libre.
Les Tops 2011 sont remballés, retour des Jaccuzi Boys d'Alter1fo.com pour un panorama des nouvelles sorties de disques 2012, avec pour finir quelques perles (de bain) des 60ies piochées dans les Nuggets.
Les auditeurs de Music Machine ont demandé une version écrite du Top 20 de Christophe Brault après avoir écouté les deux émissions de janvier et février consacrées au meilleur de l'année 2011. Voici donc son Top, pour une séance de rattrapage en règle.
Comme prévu le mois dernier, Christophe Brault vous propose de découvrir la suite de son top des albums de 2011, avec les disques classés de 20 à 11. Fix nous présente également son disque des musiques bruyantes.
Retour en images sur l'Apéro CodeLab #14, qui s'est tenu ce vendredi 3 février au Jardin Moderne dans le cadre de Jardin Numérique, moment d'échanges privilégiés entre les visiteurs et les participants venus présenter leur créations, et surtout leur work-in-progress.
Un Jardin Numérique, ce n'est pas que pour regarder. On y vient pour mettre la main à la pâte, soulever le capot. Si vous avez une vengeance à assouvir envers une Dora électronique, c'est le moment de venir lui faire radicalement changer de chanson.