Il y a plusieurs manières d’aborder le bourrage des urnes au Parti socialiste, le tripatouillage des résultats. La première bien que vaine est saine. Le dégout, la honte. Comment les héritiers de Jaurès peuvent cracher ainsi sur les valeurs fondamentales, etc.
L’autre ne saute pas aux yeux mais réfléchissez deux minutes. Nous assistons certes à un petit pas en arrière pour la démocratie mais un grand pas en avant pour l’égalité des sexes. Combien de fois n’a t’on pas entendu qu’avec des femmes la politique serait plus douce et autres balivernes sexistes. Rappelez vous, par exemple, la chanson de Renaud sur Thatcher qui n’était rien d’autre qu’une forme de machisme.
Désormais, grâce à Martine et Ségolène la preuve est faîte que la traîtrise, la bassesse sont universelles et n’ont pas de sexe. Remercions donc ces hyènes abreuvées de pouvoir d’avoir ainsi fait progresser la cause égalitaire. Non le bourrage des urnes n’est pas l’apanage des hommes noirs de l’Afrique sub-saharienne mais également des femmes blanches qui se disent démocrates, socialistes et toujours promptes à donner des leçons d’éthique à la planète entière.
Martine, Ségolène faîtes nous plaisir, battez-vous à mort. Embauchez chacune des tueurs à gage et décimez vos rangs respectifs. Le peuple de gauche n’a qu’une envie vous enfermer rue de Solferino dans votre hôtel particulier et ne plus jamais vous revoir, ne plus jamais vous entendre en espérant que le virus H1N1 verra des ravages.
Silie
bien drôle Kennedy ! vivement le prochain