« La rouille » ou le côté obscur du street-art…

Sombres, noires, dépouillées, loin des graffs "pop art" aux vives couleurs, les peintures de "la Rouille" sont d'immenses fresques représentant le plus souvent des visages. A l'instar de l'espagnol Borondo, l'atmosphère qui s'en dégage semble tout droit sortie d'un mauvais rêve. Comme des fantômes hantant les lieux ou des gardiens d'une intemporalité que l'auteur voudrait apprivoiser. Impossible d'y rester insensible.

Inauguration URBAINES 2016 au Triangle

C’est jeudi que se déroulera l’inauguration de la 7e édition de « Urbaines » à retrouver du 11 février au 6 mars 2016 ! Ce moment convivial sera l’occasion pour, entre autres, l’Antipode MJC, […]