HADOPI: Le point de vue de Christophe Brault

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A l’heure du retour d’HAPOPI, la loi zombie sensée réguler le partage des données , illicite ou non et surtout de « protection des artistes (célèbres!) » , Chistophe Brault, notre expert es-disques fait une analyse de la vente et la distribution musicale .

L’entretien avait été enregistré lors d’une émission, le mag’ Info , sur Radio Campus Rennes, en juin dernier à la suite de l’annulation des dispositions les plus liberticides de la loi HADOPI par le conseil constitutionnel.

Néanmoins Christophe, brosse un portait lucide de la distribution, la promotion et la consommation musicale et taille aussi quelques costards aux pirates comme aux distributeurs…

La première partie : Etat de l’art de la vente et consommation Internet.

La deuxième partie : Mais Christophe ? Comment achètes-tu tes disques ?

Voila, on est conscient que c’est du réchauffé mais Christophe reviendra le mois prochain sur alter1fo.com et attendez-vous à une petite surprise….

2 commentaires sur “HADOPI: Le point de vue de Christophe Brault

  1. Fred

    Bravo à Christophe Brault, vrai passionné de musiques, utilisateur intelligent d’internet et qui ne cède pas au très tendance « le piratage c’est cool ! ».
    Je ne suis pas autant emballé par Monsieur l’interviewer, opposant déclaré à Hadopi, ne connaissant même pas les activités actuelles de Christophe Brault, n’ayant pas mis un pied apparement dans un magasin de disques depuis longtemps, et assez peu connaisseur de la musique, comme beaucoup de pirates d’ailleurs, téléchargeurs compulsifs de musiques mais pas fan de musique finalement…
    On retrouve le même problème chez les téléchargeurs en masse de films sur internet, parmis lesquels on ne retrouve que rarement des cinéphiles…
    Alors effectivement, c’est probablement plus facile de télécharger illégalement (pas à saisir ses coordonnées de carte bleue) mais on trouve suffisament de titres aujourd’hui sur les plateformes légales pour contenter 95% des amateurs de musique. Seuls les passionnés ne trouvent peut-être pas leur bonheur sur ces plateformes, mais ce n’est surement pas chez eux qu’on trouve le plus de pirates…
    Quand au prix, 99 centimes par titre ne me semble pas être une arnaque…

  2. Fix

    Mais merde, pas un mot sur Blind Spot.
    Achetez des disques chez Blind Spot !
    Les mecs de Blind Spot sont les plus gentils et les plus beaux, leurs disques sentent bons.

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