A Rennes, on installe des grilles de maux croisés…

Impossible de ne pas les voir. A quelques mètres du mémorial dédié aux 32 résistants dont 9 républicains espagnols, emprisonnés à la prison Jacques Cartier puis fusillés le 8 juin 1944, on érige des barrières métalliques au teint gris blafard. « On a un peu l’impression d’être emprisonnés » peste une jeune femme(1) travaillant dans le quartier.