Une couverture rouge, un manche d’AK-47 et un titre qui claque : 600 coups par minute. Voilà donc le dernier Paulin, un roman noir dont le fil rouge sang est une arme de guerre : la macabre Kalachnikov.
La guerre d'Algérie. Premier contact ou presque en classe de Terminale. Un programme d'Histoire en touches homéopathiques et assurément subjectives... Grâce à Frédéric Paulin et sa « Grande Peur du Petit Blanc », on met des mots et des maux objectifs sur ce pays et cette histoire pas si lointaine. Barbouzes, bicots, gégène, OAS, FLN, fellaghas prennent vie et image sous sa plume... non sans malmener nos tripes de lecteurs. Compte-rendu de lecture.
La palme du roman de ce funèbre et glacé mois d'avril revient sans conteste au premier ouvrage d'un jeune auteur Rennais, Léonard Taokao. Sur le fond d'anticipation sociale, l'auteur s'amuse à faire évoluer son personnage principal, Silas dans les tréfonds d'une capitale qu'il redécouvre après 7 années d'absence