[Critique] James Blake : The colour in anything
Bien sûr il y a toujours cette voix bouleversante, à ranger avec celles de Patrick Watson ou d’Anohni/Antony Hegarty. Car si James Blake se classe dans la musique électronique (à la tête du mouvement post-dubstep), c’est aussi par son chant qu’il s’élève haut, très haut, survolant la masse de bon nombre de productions électro interchangeables […]