
Ce jeudi 2 mai, soir d'ouverture du festival, on frémit tout bonnement d'impatience à l'idée de découvrir les tribales chaloupes de Cyril Cyril, la version dopée de Yes Basketball et les sûrement saignants Cannibale. Compte-rendu.

Pour sa 21ème édition, le festival des Embellies se décale en mai et se recentre sur son lieu principal : le théâtre du Vieux Saint Étienne. La belle bande de l’association Patchrock nous a surtout concocté une foule de chouettes surprises et trois soirées de concert parfaitement équitables en belles promesses. On commence par vous […]

Pour leur soirée du jeudi 22 mars au Théâtre du Vieux Saint Etienne, le festival des Embellies jouait sur les contrastes avec la pop azimutée et minimale d'Héron Cendré, le rock fiévreux de Miët et les spirales Kraut rock de Veik. Alchimie audacieuse pour des organisateurs coutumiers du fait mais alchimie heureuse une fois de plus. Retour sur des plaisirs multiples.

Les Embellies s'attachent depuis plusieurs années à mettre en avant de nouveaux talents et à soutenir des artistes émergents, déjà souvent riches de projets captivants. Ce samedi 24 mars après-midi, ce sont donc deux musiciens déjà expérimentés et particulièrement prometteurs que le festival invite au Théâtre du Vieux St Étienne : deux batteurs passionnés qui troquent les fûts pour le songwriting.

Le festival des Embellies continue de plus belle d'avoir 20 ans tout au long de ces quatre jours de folie. Nouvelle étape à ne pas louper, jeudi 22 mars au cœur du festival : le Théâtre du Vieux Saint Etienne pour une soirée tout en vertige regroupant les ballades hypnotiques du drôle d'oiseau rennais Héron Cendré, le rock fiévreux et le groove en boucle de Miët et les fascinantes spirales Kraut rock de Veik. Tout ce qu'il faut pour vous faire tourner la tête tout en vous filant de fourmis dans les guiboles.
Le quatrième et dernier volet de la série Expérience concoctée par Cultures Electroni[k] nous conviait ce samedi au Théâtre du Vieux Saint Etienne pour y découvrir les très belles expérimentations sonores tout en délicatesse de Bertùf ainsi que la géniale folie percussive des Contact in Vivo. Une réussite !