Du papier sous le sap1 #1 : têtes blondes et noir Morvan

Un roman noir pour démarrer ce calendrier de l'avent avec un esprit pas du tout de Noyel ! Les lois du silence de Grégoire Courtois est un court roman de 197 pages. Facile à glisser sous le sapin, d'un prix fort raisonnable pour la version poche (6,60€).

Il était une fois… des contes et des histoires qui bousculaient les clichés sexistes !

Dis, raconte-moi une histoire non-sexiste ! 14 contes et nouvelles ont été collectés au cours d’un appel à texte co-organisé par le CGLBT de Rennes avec le soutien des Centres Gay et lesbiens de toute la France et Les Bookonautes. Sur une trentaine de textes, un large sélection a été effectuée afin de laisser place à tous les styles et de mettre en scène une grande diversité d’approches et de thèmes.

Résidence, résidence de la république…

Comme tous les ans, le Triangle ouvre ses portes à un écrivain dans le cadre d’une résidence. Après Eric Pessan, Antoine Dufeu, Kouam Tawa, c’est au tour de Mathieu Larnaudie de venir poser ses valises et […]

Littérature hivernale

L'actualité a un côté vulgaire. Pour la musique et la littérature, c'est à peu près la même chose. Il n'y a rien de plus détestable que lorsque on nous vend de la culture prè-machée, pré-digérée. Les seules productions qui méritent notre attention, sont celles, artisanales qui respirent l'authenticité.

Instantanés électriques – Jean-noël Levavasseur

Le rock n'est pas que l'apanage des musiciens. Dans l'ombre, œuvrent des milliers de fourmis qui triment sang et eau pour leur amour du riff acéré. Parmi ces pâles travailleurs, certains optent pour la plume. Et parmi ces gratte-papiers compulsifs, nous allons nous intéresser au cas de Jean-Noël Levavasseur. Son (bon) goût pour les lettres et le punk l'ont amené à superviser des ouvrages collectifs de nouvelles noires et rock ..

La mauvaise herbe – Léonard Taokao

Léonard Taokao présente ici son 2ème roman qui fait suite au « Carabistouilles Fiction » chroniqué il y a tout juste un an pendant les élections pestilentielles qui nous promettaient, à nous, pauvres larves laborieuses des lendemains qui chantent. Mais, « rien n'a encore changé » dirait un célèbre groupe de muridés déglingués. Alors on s'est remit fissa au boulot, et Taokao le premier, pour nous livrer ce conte urbain croquignolesque.