[critique] The Revenant

Au début du XIXème siècle, un trappeur survit à une attaque de grizzli dans le Nord du nouveau monde. The Revenant part de ce fait réel pour en faire un faux western contemplatif, les pieds dans la boue et l’âme dans les cieux. Après la promiscuité de Birdman, Iñarritu pose ses personnages dans une nature agressive où l’homme doit renoncer à la civilisation pour s’en sortir.