« La rouille » ou le côté obscur du street-art…

Sombres, noires, dépouillées, loin des graffs "pop art" aux vives couleurs, les peintures de "la Rouille" sont d'immenses fresques représentant le plus souvent des visages. A l'instar de l'espagnol Borondo, l'atmosphère qui s'en dégage semble tout droit sortie d'un mauvais rêve. Comme des fantômes hantant les lieux ou des gardiens d'une intemporalité que l'auteur voudrait apprivoiser. Impossible d'y rester insensible.

Dernier coup de chapeau au mur Dubonnet

Nombreux furent les rennaises et rennais à s’être déplacés pour rendre un dernier hommage au mur «Dubo Dubon Dubonnet» avant sa destruction prévue courant juin. Hommage concocté et réalisé par le Collectif de l'Inédit, la Sophiste.